JOUR 7 BRESIL - frontiereland

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Jour 7 – 18/10/2019 – MANAUS  

Ce matin, quand nous nous réveillons, nous sommes proches de Manaus où se termine notre petite croisière.




Mais avant cela le bateau descend un peu en aval de la ville, au confluent du rio Negro et de l'Amazone, afin d'observer le phénomène du partage des eaux . En effet les eaux du Rio Négro sont noire alors que celles de l'Amazone sont brunes. Plus loin les eaux des 2 rivières se mélangent pour donner une eau beige marron qui charriera les alluvions de la forêt jusqu'à l'océan.








Le port de Manaus est en vue. Nous quittons le navire ravis de cette petite croisière et de son excellente organisation.



Nous avons rendez-vous avec un guide privé pour visiter la ville, en anglais évidemment. Il nous emmène tout d'abord visiter le marché qui est assez impressionnant !

























Suit ensuite le musée d'histoire de la ville où nous avons droit à une expérience de réalité virtuelle.



Nous terminons enfin par la visite du théatre où un orchestre est en train de répéter. C'est vrai qu'il est beau ce théâtre, kitsch mais beau !










Après cette visite très sympathique de la ville, nous récupérons nos bagages restés à la consigne de la compagnie de croisière sur le port et notre guide nous ramène au centre, près du théatre, où il nous propose de laisser nos valises dans une petite agence sur la la place. Nous le remercions vivement et nous le quittons ravis, comme prévu, à l'heure du déjeuner.
Après un temps d'observation, je remarque des locaux qui s’engouffrent sous un porche. Alors on décide de leur emboiter le pas et là, nous découvrons la jolie salle du restaurant Caxiri, très tendance et abordable, où nous passerons un excellent moment.







Notre avion ne décollant qu'à 2h40 du matin (eh oui, nous passerons la nuit dans l'avion), nous avons encore du temps pour quelques flâneries dans les rues de Manaus.




Les bâtiments de l'époque dorée de la ville lui donne un caractère desuet.













Les Brésiliens raffolent de la musique "que l'on peut emmener partout", surtout à la plage,  et qui fait "beaucoup de bruit".











Ces petits perroquets Amazonas qui jacassent sur un lampadaire nous rappellent que cette ville de 2 millions d'habitants est entourée par la jungle Amazonienne.



Après une attente plus longue que prévu à l'aéroport et dont on ne connaît pas la raison puisqu'ici, même au bureau des informations, les hôtesses ne parlent pas anglais, nous embarquons vers 4h40 du matin.
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